Max MASSE

Je suis à la fois photographe social et plasticien de l’image.

Mes activités photographiques quotidiennes s’inscrivent toujours dans la relation à l’autre, dans les interactions avec les autres pour faire société, pour partager images et idées, pour débattre.

Comme plasticien, je transforme mes photos en images que j’appelle des analogons via des assemblages numériques ou des collages sur carton ou sur carton plume. Une image qui dit autre chose d’une réalité visible de notre quotidien, c’est un analogon.

Je me reconnais dans les perspectives tracées par le Mouvement Transfiguring https://www.transfiguring.net/fr/le-mouvement/ .

Mes images se situent hors des conventions photographiques du rapport à la réalité. Elles ne cherchent pas à rendre compte d’une vérité. Elles offrent, en quelque sorte, une forme de résistance au visible.

Mes analogons s’adressent à qui veut bien prendre le temps de s’y plonger. Ils cherchent, filtrent, construisent/déconstruisent les formes de la figuration du réel. Ils jouent de l’écart entre deux expressions : celle de l’artiste et celle du « regardeur » (P. Soulages).

Autrement dit, mes analogons cherchent à métamorphoser et transcender le réel et ses formes de références.

« Même si la fenêtre est la même, tous ceux qui s’y penchent ne voient pas les mêmes choses : la vue dépend du regard », Alda MERINI

Pour découvrir mon univers de référence : https://www.maxmasse.com/post/citations